Hier s’est tenue au Palais Farnèse une rencontre entre le Président français Emmanuel Macron et une délégation de de S. Egidio, avec Andrea Riccardi, Marco Impagliazzo et Mario Giro. Au centre de l’entretien l’idée d’une collaboration – pendant la présidence française du semestre européen – pour un événement mondial en faveur de l’abolition de la peine de mort.
À l’occasion de la Journée mondiale des pauvres, la Communauté de Sant’Egidio à Anvers a convoqué une réunion qui s’inscrit dans le cadre du Synode convoqué par le pape François pour l’Église universelle.
63 réfugiés de la Corne de l’Afrique ont atterri ce matin à l’aéroport Fiumicino, avec un vol régulier d’Ethiopian Airlines au départ d’Addis-Abeba. Les conditions de vie de ces personnes, qui sont depuis longtemps réfugiées dans les camps d’Éthiopie, puis dans la capitale, avaient été encore compliquées en raison du conflit qui, ces derniers mois et en particulier ces dernières semaines, affecte l’Éthiopie.
La correspondance est un instrument ancien et pauvre qui fait la différence dans la vie des prisonniers proches ou lointains. Elle devient un fil de vie important pour les condamnés à mort, qui vivent dans l’attente indéfinie d’une réduction de peine ou de leur exécution. Ecrire à un prisonnier qui se trouve dans les couloirs de la mort est un engagement volontaire et gratuit de nombreuses personnes au sein de la Communauté de Sant’Egidio.
44 réfugiés syriens – dont 15 enfants – qui vivaient depuis longtemps dans les camps de réfugiés au Liban ont atterri à l’aéroport de Fiumicino, en provenance de Beyrouth. Ces derniers mois, ils avaient subi une détérioration de leurs conditions de vie non seulement en raison de la pandémie, mais aussi en raison de la très grave crise politique, économique et sociale que traverse ce pays.