Le cyclone Idai qui a frappé le Malawi et le Mozambique a causé d’énormes pertes de vies humaines, la destruction de la ville de Beira et la « disparition » de villages entiers. Une tragédie aux dimensions colossales, dont les dimensions sont mises à jour d’heure en heure.
Dimanche 24 mars s’est tenue à Moscou la prière en mémoire de Lilia et des autres sans domicile fixe amis de la Communauté de Sant’Egidio morts au cours de ces dernières années dans la rue.
L’école Floribert Bwana Chui est située en marge de l’énorme camp de réfugiés de Mugunga, dans les environs de Goma, au Nord Kivu, où des milliers de personnes, fuyant les milices et les affrontements ethniques qui ensanglantent cette région du Congo, ont trouvé refuge. L’école est dédiée à Floribert, membre de S. Egidio qui a refusé une proposition de corruption et qui a été tué pour cela.
Le cyclone a dévasté maisons, champs, ponts et routes au Malawi, au Mozambique et au Zimbabwe. La ville portuaire de Beira au Mozambique est submergée par les eaux. Nelson Moda, de Beira, nous raconte ce qui s’est passé, et les efforts de la Communauté pour aider dans l’urgence les milliers de personnes restées sans domicile, sans nourriture, sans vêtements ni médicaments.
A Tirana en Albanie ouvrira bientôt une maison d’accueil protégée pour huit femmes ayant des problèmes de santé mentale, auparavant accueillies dans un hôpital psychiatrique. Un nouveau modèle socio-sanitaire est à la base de l’accord signé par Vincenzo Paglia et Ogerta Manastirliu, ministre de la Santé (Albanie).