La Communauté S. Egidio a été fondée à Rome en 1968. Elle tient son nom d’une église romaine du quartier de Trastevere où son centre international est établi. Le mouvement compte plus de 70’000 personnes dans le monde, actives dans 70 pays sur tous les continents.
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Pour la Journée Mondiale du Réfugié, le 20 juin, la Communauté de Sant’Egidio lance une grande invitation à participer à la veillée de prière “Mourir d’espoir”, organisée à Rome avec d’autres associations engagées dans l’accueil et l’intégration des personnes qui fuient la guerre ou d’autres situations intenables dans leurs pays.
Qui sont les chrétiens d’Orient ? Le livre “Un moine en otage” répond à cette question à travers le témoignage personnel du Père Jacques Mourad, prisonnier des djihadistes en Syrie pendant 4 mois et 20 jours. Il s’est entretenu avec Andrea Riccardi pour la présentation de la traduction italienne de son livre, dans la salle Benoît XIII, au sein du San Gallicano de Rome.
Rue de l’archéologie, à la périphérie de Rome, dans le quartier de Tor Bella Monaca, se vit une belle expérience où les personnes en situation de handicap sont actrices. Le Musée Laboratoire d’Art de Sant’Egidio est « un espace de paix » dans lequel des personnes de tous âges, porteuses ou non situations de handicap, ont trouvé « l’amitié, la liberté de créer et des occasions de réfléchir sur de nombreux thèmes émergents », comme le raconte Maria Carosio à Buongiorno Regione.
Vendredi 14 juin, trente-trois évêques de la conférence épiscopale indonésienne, en visite ad limina apostolorum à Rome où ils seront reçus par le pape François, se sont rendus auprès de la Communauté de Sant’Egidio.
Dans la rue, tous l’appellent Koffi. D’où venait cet enfant de 8 ans qui, dans l’une des plus grandes métropoles d’Afrique Occidentale, survivait jusqu’il y a peu de temps en vendant des mouchoirs en papier et en dormant dans la rue ? Il a fallu du temps pour le savoir. Car derrière le sourire de cet enfant, qui troublait par sa simplicité, il y avait l’histoire d’un garçon qui, dans son plus jeune âge, avait déjà fait un choix amer : fuir une maison dans laquelle il ne pouvait plus rester, n’étant plus accepté par sa famille, « coupable » simplement de ne pas être le fils du nouveau compagnon de sa mère.