A 74 ans de la libération du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau, la Journée de la Mémoire – qui sera célébrée dimanche – n’est pas une commémoration rituelle, mais rappelle les institutions et les citoyens à une vigilance accrue envers la permanence des préjugés antisémites et racistes, la diffusion de slogans et comportements d’intolérance dans l’espace public, accompagnés de discriminations et d’exclusion sociale des minorités et des personnes différentes, et envers la croissance, notamment parmi les plus jeunes, de mouvements nationalistes, souverainistes et xénophobes dans divers pays européens, dont l’Italie.