En 2003, S. Egidio a cofondé la « Coalition mondiale contre la peine de mort ». Depuis 2006, en partenariat avec Amnesty, ACAT et lifespark, S. Egidio promeut en Suisse la Journée « Villes pour la vie, villes contre la peine de mort ». Genève, Lausanne, Martigny, Morges et Delémont ont formellement adhéré. Des villes comme Bâle, Bienne, Fribourg et Nyon s’y sont associées par un geste officiel. De nombreux membres de S. Egidio correspondent avec des condamnés à mort.
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Partenaire de longue date des organisateurs de « Villes pour la vie, villes contre la peine de mort », la commune de Lausanne a officiellement adhéré en 2016 au réseau des villes contre de la peine de mort. Lausanne rejoint donc aujourd’hui les 2153 villes du monde qui demandent l’abolition de la peine de mort.
Le 26 octobre 2016, la commune de Bienne a décidé de s’associer à la campagne internationale « Villes pour la vie – villes contre la peine de mort ».
Le 27 octobre 2016, la commune vaudoise de Morges a adhéré à la campagne internationale « Villes pour la vie – villes contre la peine de mort ».
Le 30 mai 2016, la commune jurassienne de Delémont a décidé d’adhérer au réseau international de « Villes pour la vie, villes contre la peine de mort ».
« Le discours de Robert Badinter [ministre de la justice français] sur la peine de mort a été déterminant pour mon engagement dans la politique ». Ainsi s’est exprimé Grégoire Junod, Municipal lausannois, lors de la marche aux flambeaux « Villes pour la vie, villes contre la peine de mort » qui a eu lieu le 28 novembre 2015 dans les rues du centre de Lausanne à l’initiative de S. Egidio, ACAT, lifespark et Amnesty International.